Page 147330 des 1 480 876 résultats trouvés :
| France, Cour de cassation, Chambre civile 1, 20 novembre 1961, JURITEXT000006957961
VENTE - ANIMAUX DOMESTIQUES - VICES CACHES - DEFINITION - HYDROHEMIE C'EST A BON DROIT QUE LA VIANDE D'UNE VACHE ATTEINTE D'HYDROHEMIE... SUR LE MOYEN UNIQUE, PRIS EN SES DEUX PREMIERES BRANCHES : ATTENDU QU'IL EST FAIT GRIEF AU JUGEMENT ATTAQUE D'AVOIR FAIT DROIT A LA DEMANDE DE DIJOLS EN RESOLUTION POUR VICE CACHE DE LA VENTE A LUI CONSENTIE PAR VOLPELIER D'UNE VACHE QUI, APRES ABATTAGE, A ETE RECONNUE ATTEINTE D'HYDROHEMIE, ET EN RESTITUTION DU PRIX, ALORS QU'IL NE POUVAIT Y AVOIR GARANTIE EN RAISON DU PRIX EXTREMEMENT BAS, ET ALORS QU'UNE COMPARUTION PERSONNELLE DES PARTIES AVAIT ETE SOLLICITEE POUR ETABLIR LA CONNAISSANCE...
| France, Cour de cassation, Chambre commerciale, 20 novembre 1961, JURITEXT000006958184
1° BAIL COMMERCIAL LEGISLATION ANTERIEURE AU DECRET DU 30 SEPTEMBRE 1953 - DESTRUCTION DE L'IMMEUBLE PAR FAIT DE GUERRE - LOI DU 2 JUIN... SUR LE MOYEN UNIQUE PRIS EN SA SECONDE BRANCHE : ATTENDU QUE SELON LES ENONCIATIONS DE L'ARRET ATTAQUE, LA DAME Y... AVAIT PRIS A BAIL LE 21 MARS 1944 POUR TROIS SIX OU NEUF ANS, DANS UN IMMEUBLE APPARTENANT A BIGOT, UN MAGASIN OU ELLE EXERCAIT UN COMMERCE ; QUE L'IMMEUBLE AYANT ETE DETRUIT PAR FAIT DE GUERRE, ELLE NE PUT OBTENIR LE REPORT DE SON BAIL SUR CELUI QUI FUT RECONSTRUIT AU MEME EMPLACEMENT, ET ASSIGNA EN PAYEMENT D'UNE INDEMNITE, EN VERTU DE LA LOI DU 2 JUIN 1955, D'UNE PART, SON...
| France, Cour de cassation, Chambre commerciale, 20 novembre 1961, JURITEXT000006958185
1° JUGEMENTS ET ARRETS - MENTIONS OBLIGATOIRES - PLACE DANS LA DECISION 1° NI L'ARTICLE 141 DU CODE DE PROCEDURE CIVILE, NI AUCUN TEXTE DE... SUR LE PREMIER MOYEN : ATTENDU QU'IL EST REPROCHE A L'ARRET ATTAQUE, APRES AVOIR CONSTATE DANS SES MOTIFS, QU'IL CONVENAIT D'ORDONNER L'EXPULSION DE LA COMPAGNIE FRANCAISE DE TEXTILES, SOUS-ASTREINTE DE 20.000 FRANCS PAR JOUR DE RETARD, A COMPTER DE LA SIGNIFICATION DE L'ARRET, D'AVOIR OMIS, DANS SON DISPOSITIF, D'ORDONNER LADITE EXPULSION ET DE PRONONCER L'ASTREINTE ANNONCEE ; ATTENDU QUE LA COUR D'APPEL APRES AVOIR CONSTATE QUE LA COMPAGNIE FRANCAISE DE TEXTILES, LOCATAIRE D'UN IMMEUBLE A...
| France, Cour de cassation, Chambre commerciale, 20 novembre 1961, JURITEXT000006958186
PROCEDURE CIVILE ET COMMERCIALE - "NUL EN FRANCE NE PLAIDE PAR PROCUREUR" - CARACTERE D'ORDRE PUBLIC NON LA REGLE "NUL EN FRANCE NE... SUR LE PREMIER MOYEN : ATTENDU QUE SELON LES ENONCIATIONS DE L'ARRET ATTAQUE COUR DE DOUAI, 8 FEVRIER 1958, LA SOCIETE "S.E.R.C.A.", LOCATAIRE DE LOCAUX A USAGE COMMERCIAL, AYANT DEMANDE LE RENOUVELLEMENT DE SON BAIL AUX CONSORTS X..., SES BAILLEURS, CEUX-CI LUI ONT OPPOSE UN REFUS, PAR EXPLOIT DU 9 MARS 1955, EN INVOQUANT DES MOTIFS GRAVES ET LEGITIMES ; QUE LA SOCIETE "S.E.R.C.A." A, PAR EXPLOIT DU 31 MAI 1955, DONNE ASSIGNATION A ALBERT X..., "PRIS TANT EN SON NOM PERSONNEL QU'EN SA QUALITE...
| France, Cour de cassation, Chambre commerciale, 20 novembre 1961, JURITEXT000006958187
REFERE - CONTESTATION SERIEUSE - BAIL COMMERCIAL - EXPULSION - CLAUSE RESOLUTOIRE - MISE A LA CHARGE DU LOCATAIRE DES REPARATIONS... SUR LE SECOND MOYEN : VU L'ARTICLE 809 DU CODE DE PROCEDURE CIVILE ; ATTENDU QUE S'IL ENTRE DANS LE POUVOIR DU JUGE DES REFERES D'ORDONNER L'EXPULSION D'UN LOCATAIRE, C'EST A LA CONDITION QU'AUCUNE DIFFICULTE SERIEUSE NE S'ELEVE SUR LA CONTTRAVENTION A LA CLAUSE RESOLUTOIRE DU BAIL INVOQUEE PAR LE BAILLEUR A L'APPUI DE SA DEMANDE D'EXPULSION ; ATTENDU QUE LA SOCIETE "CAFE-HOTEL DE FRANCE", LOCATAIRE D'UN IMMEUBLE A USAGE DE CAFE ET HOTEL MEUBLE, APPARTENANT AUX CONSORTS X..., A RECU DE CEUX-CI...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 1, 20 novembre 1961, JURITEXT000006958221
JUGEMENTS ET ARRETS - CONCLUSIONS - PORTEE - CONCLUSIONS DEPOSEES AU NOM DE CONSORTS - OPPOSABILITE A L'UN DES CONSORTS AU NOM DESQUELS... SUR LE MOYEN UNIQUE PRIS EN SES DEUX BRANCHES : ATTENDU QUE LES CONSORTS C... ONT ASSIGNE LES CONSORTS X... Y... EN PARTAGE D'UN IMMEUBLE RURAL ; QUE LE TRIBUNAL CIVIL APRES AVOIR DESIGNE UN EXPERT B... PREPARER UN PROJET DE PARTAGE A, PAR UN SECOND JUGEMENT, HOMOLOGUE CE PROJET, QU'AU COURS DE LA PROCEDURE, X... Y... MALEK EST INTERVENU AU NOM DE LA MINEURE X... Y... OUARDA ET QU'IL A RELEVE APPEL DU JUGEMENT : QUE, APRES SON DECES, LA DAME BENCHEIKH Y... Z... ET SES AUTRES HERITIERS ONT...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 1, 20 novembre 1961, JURITEXT000006958222
JUGEMENTS ET ARRETS - DEFAUT DE MOTIFS - RESPONSABILITE CONTRACTUELLE - DOMMAGE - REPARATION - PREJUDICE DE PRINCIPE - REJET DE LA... SUR LE PREMIER MOYEN : ATTENDU QUE L'ARRET CONFIRMATIF ATTAQUE, HOMOLOGUANT LE RAPPORT DE L'EXPERT X... AU PREMIER DEGRE DE JURIDICTION, ALLOUE AUX EPOUX Y... LA SOMME DE 67.478 FRANCS, MONTANT DE TRAVAUX DE PEINTURE QUE RAUCOURT S'ETAIT ENGAGE A EFFECTUER DANS L'IMMEUBLE QU'IL LEUR AVAIT VENDU, LESQUELS AVAIENT DONNE LIEU A CONTESTATION ; QU'IL EST FAIT GRIEF A LA COUR D'APPEL DU REFUS DE CONDAMNER RAUCOURT, DE CE CHEF, AU PAYEMENT D'UNE SOMME PLUS ELEVEE, AU MOTIF QU'IL RESULTAIT DE LA MISSION...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 2, 17 novembre 1961, JURITEXT000006957559
SECURITE SOCIALE - ASSURANCES SOCIALES - VIEILLESSE - ALLOCATION SUPPLEMENTAIRE FONDS NATIONAL DE SOLIDARITE - BENEFICIAIRES -... SUR LE MOYEN UNIQUE : VU L'ARTICLE 707 DU CODE DE LA SECURITE SOCIALE, AUX TERMES DUQUEL L'ALLOCATION SUPPLEMENTAIRE DU FONDS NATIONAL DE SOLIDARITE PREVUE PAR L'ARTICLE 685 DU MEME CODE, N'EST DUE AUX ETRANGERS QUE SOUS RESERVE DE LA SIGNATURE DE CONVENTIONS INTERNATIONALES DE RECIPROCITE, ENSEMBLE LES DECRETS DU 3 DECEMBRE 1936 ET DU 14 OCTOBRE 1954 ; ATTENDU QUE L'ARRET ATTAQUE, PARTIELLEMENT INFIRMATIF, A ACCORDE LE BENEFICE DE L'ALLOCATION SUPPLEMENTAIRE, A COMPTER DU 1ER OCTOBRE 1957, PREMIER...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 2, 17 novembre 1961, JURITEXT000006958030
JUGEMENTS ET ARRETS - CONCLUSIONS - OBLIGATION DE JUGER DANS LEURS LIMITES - RESPONSABILITE CIVILE - DEMANDE FONDEE SUR LES ARTICLES 1382... SUR LE MOYEN UNIQUE PRIS EN SES TROIS BRANCHES : ATTENDU QU'IL RESULTE DE L'ARRET CONFIRMATIF ATTAQUE QUE DEMOISELLE X... PENETRA DANS L'ENCEINTE DES ETABLISSEMENTS BALNEAIRES INSTALLES PAR LA SOCIETE PLAGES DE RIVIERE ET UTILISA UNE BALANCOIRE PARMI LES DIFFERENTS JEUX MIS A LA DISPOSITION DES VISITEURS ; QUE CETTE BALANCOIRE COMPORTAIT UNE CEINTURE POUR LA TAILLE ET DES ATTACHES POUR LES POIGNETS ET LES PIEDS ; QUE DEMOISELLE X... N'UTILISA QUE LA CEINTURE QUI, DURANT QU'ELLE SE...
| France, Cour de cassation, Chambre civile 2, 17 novembre 1961, JURITEXT000006958031
SECURITE SOCIALE - COTISATIONS - RECOUVREMENT - CONTRAINTE - SIGNATURE - - OMISSION - NULLITE ON NE SAURAIT FAIRE GRIEF A UNE COUR... SUR LE PREMIER MOYEN : ATTENDU QUE DES PRODUCTIONS, IL RESULTE QUE LES ETABLISSEMENTS BARRIELLE, AYANT FORME OPPOSITION A QUATRE CONTRAINTES A EUX SIGNIFIEES, A LA REQUETE DE L'UNION POUR LE RECOUVREMENT DES COTISATIONS DE SECURITE SOCIALE ET D'ALLOCATIONS FAMILIALES DES BOUCHES-DU-RHONE, UN ARRET EN DATE DU 1ER JUILLET 1959, PASSE EN FORCE DE CHOSE JUGEE, APRES AVOIR CONSTATE QUE LA DEMANDERESSE PRODUISAIT DES ORIGINAUX REGULIERS DESDITES CONTRAINTES A, AVANT DE SE PRONONCER SUR LE MERITE DE LA...