SUR L'IRRECEVABILITE DU POURVOI RELEVEE D'OFFICE : VU L'ARTICLE 608 DU NOUVEAU CODE DE PROCEDURE CIVILE, ATTENDU QUE L'ARRET ATTAQUE, QUI A ETE PRONONCE LE 5 OCTOBRE 1982, NE STATUE SUR LE FOND QUE POUR CONDAMNER LA SOCIETE SOCEA BALENCY CONSTRUCTEUR DE MAISONS INDIVIDUELLES, A PAYER A LA SOCIETE ROTO FRANCK, CONSTRUCTEUR DE CHASSIS DE FENETRE, LA SOMME DE 43.413,56 FRANCS A TITRE DE SOLDE DE FACTURES ;
QU'EN REVANCHE, SUR LES DEMANDES DE LA SOCIETE SOCEA BALENCY TENDANT A OBTENIR REPARATION DES DESORDRES DUS A DES CHASSIS DE FENETRE LIVRES, LA COUR D'APPEL SE BORNE AVANT DIRE DROIT NOTAMMENT, A DONNER INJONCTION A CETTE SOCIETE DE JUSTIFIER AVANT LE 15 DECEMBRE 1982 DE LA COMMUNICATION REGULIERE DU RAPPORT D'EXPERTISE ET DE LA PROCEDURE DE L'INSTANCE QUI AURAIT ETE ENGAGEE CONTRE ELLE PAR LES PROPRIETAIRES DES PAVILLONS AFFECTES PAR LES DESORDRES ;
QUE LE POURVOI DE LA SOCIETE SOCEA BALENCY N'ETANT PAS DIRIGE CONTRE LE CHEF DE L'ARRET AYANT STATUE AU FOND EST IRRECEVABLE ;
PAR CES MOTIFS : DECLARE IRRECEVABLE LE POURVOI FORME CONTRE L'ARRET RENDU LE 5 OCTOBRE 1982 PAR LA COUR D'APPEL DE PARIS ;
