SUR LE MOYEN UNIQUE : ATTENDU QU'IL EST FAIT REPROCHE A L'ARRET ATTAQUE DE N'AVOIR PAS REPONDU AUX CONCLUSIONS DE X..., SOUTENANT QUE LES JUGES AURAIENT DU ATTENDRE, AVANT DE SE PRONONCER SUR LA DEMANDE EN DIVORCE DE SON EPOUSE, DE CONNAITRE LES RESULTATS DE L'ENQUETE ORDONNEE SUR LES FAITS PAR LUI ARTICULES A L'APPPUI DE SA PROPRE DEMANDE EN DIVORCE ;
MAIS ATTENDU QU'EN STATUANT AINSI QU'ELLE L'A FAIT, LA COUR D'APPEL A IMPLICITEMENT MAIS NECESSAIREMENT REJETE LESDITES CONCLUSIONS ;
D'OU IL SUIT QUE LE MOYEN N'EST PAS FONDE ;
PAR CES MOTIFS : REJETTE LE POURVOI FORME CONTRE L'ARRET RENDU LE 23 FEVRIER 1961 PAR LA COUR D'APPEL DE PARIS. N 61-11.874. X... C/ DAME X.... PRESIDENT : M. CAMBOULIVES, CONSEILLER DOYEN, FAISANT FONCTIONS. - RAPPORTEUR : M. VASSART. - AVOCAT GENERAL : M. ALBUCHER. - AVOCAT : M. TALAMON.