| France, Cour de cassation, Chambre civile 2, 23 juin 1960, JURITEXT000006954752

SUR LE MOYEN UNIQUE : SUR LE MOYEN UNIQUE : ATTENDU QU'IL EST FAIT GRIEF A LA DECISION ATTAQUEE D'AVOIR ACCORDE AU SIEUR X... UNE REDUCTION DES MAJORATIONS DE RETARD QUI LUI ETAIENT RECLAMEES, SANS PRECISER LES FAITS DE NATURE A FAIRE ADMETTRE SA BONNE FOI ;

MAIS ATTENDU QU'IL RESULTE DES ENONCIATIONS DE LADITE DECISION QUE LA COMMISSION DE PREMIERE INSTANCE A PRIS EN CONSIDERATION LA SITUATION DIFFICILE DU SUS NOMME POUR RECONNAITRE SA BONNE FOI ;

ATTENDU QUE CETTE APPRECIATION DE LA BONNE FOI ECHAPPE AU CONTROLE DE LA COUR DE CASSATION ;

QU'AINSI LE MOYEN N'EST PAS FONDE ;

PAR CES MOTIFS : REJETTE LE POURVOI FORME CONTRE LA DECISION RENDUE LE 1ER AVRIL 1957 PAR LA COMMISSION DE PREMIERE INSTANCE DE PARIS ;

N° 58-50 032 CAISSE CENTRALE D'ALLOCATIONS FAMILIALES DE LA REGION PARISIENNE C/X... PRESIDENT : M BROUCHOT - RAPPORTEUR : M TETAUD - PREMIER AVOCAT GENERAL : M GAVALDA - AVOCAT : M CELICE ;